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 ASPECA On en parle : parrainer un enfant du monde

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Thaïlande - Cambodge
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MessageSujet: ASPECA On en parle : parrainer un enfant du monde   ASPECA On en parle : parrainer un enfant du monde EmptyVen 31 Déc - 10:29

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ASPECA On en parle : parrainer un enfant du monde 20041228.YON6181
GISELLE Elle a obtenu son diplôme du secondaire en mars dernier et poursuit maintenant des études universitaires (photo D.R.).
On en parle : parrainer un enfant du monde

« Avec 25 euros par mois, je paie ses études, son habillement, sa nourriture et son suivi médical ».

De nombreux enfants dans le monde ont à peine de quoi vivre, encore moins de faire des études. Des associations comme Aide et action, La Chaîne de l’espoir, Partage, Enfants et développement ou encore Aspeca, pour ne citer qu’elles, proposent aux mieux lotis de leur venir en aide. En donnant un petit peu, on peut faire tellement. Nous avons rencontré la marraine d’une petite Philippine, qui souhaite garder l’anonymat.

l’Yonne Républicaine: Vous avez commencé, il y a 6 ans, à parrainer une petite fille aux Philippines. Comment cela s’est-il passé ?

Ça faisait un moment que j’y pensais. En octobre 1997, j’ai vu à la télévision, dans le cadre de l’émission Envoyé spécial, un reportage sur une association nommée Aspeca, qui s’occupait d’enfants au Cambodge, Laos et Vietnam, et débutait un programme aux Philippines. Charlotte de Turkheim en était l’ambassadrice.
J’ai été touchée et l’émission Envoyé spécial constituant pour moi une garantie, j’ai contacté l’association.
J’ai eu le choix entre plusieurs types de parrainage : simple, enfant de la rue ou étudiant. J’ai opté pour le premier et c’est comme cela qu’en janvier 1998, pour 150 F par mois, je suis devenue la marraine d’une petite Giselle de 11 ans qui vit sur l’île de Cebu aux Philippines (900 km au sud-est de Manille).
J’étais très fière et très émue.

Avec cette somme, à quoi s’engage l’association ?

L’Aspeca crée, entretient ou gère des villages d’enfants, des foyers, des écoles primaires, secondaires ou de formation, un foyer universitaire (à Phnom Penh au Cambodge), et monte diverses opérations d’aide (jeunes filles défavorisées du Delta du Mékong, écoles pour minorités ethniques au Laos…).
L’argent que je verse tous les mois permet de payer les études de Giselle, mais aussi sa nourriture, son habillement et son suivi médical, car ses parents sont très pauvres.

Quels sont vos engagements envers l’association ?

D’abord, c’est un engagement à long terme. Ensuite, on nous demande de respecter la culture, les traditions et les convictions de l’enfant, de ne pas l’orienter dans le choix de sa carrière.
Nous nous engageons également à n’exercer aucune influence politique ou religieuse.
L’association gère les échanges de courriers (en anglais ou avec traduction française si on le souhaite), et chaque fin d’année nous avons la possibilité d’offrir des cadeaux choisis dans une liste adressée par l’association (vêtements, chaussures, montre, argent de poche, aide à la famille, fournitures scolaires, instrument de musique, bicyclette, semaine en camp d’été…). Nous recevons ensuite des photos ou des courriers mentionnant ces cadeaux.
Depuis 6 ans, j’ai pu voir l’évolution de Giselle car j’ai des dizaines de photos, dessins et lettres. C’est maintenant une jeune fille de presque 18 ans, qui a toujours pris ses études très au sérieux.

Que fait-elle aujourd’hui ?

Elle a terminé son cycle secondaire et poursuit des études sous forme universitaire. J’ai reçu une photo d’elle recevant son diplôme en mars dernier, où elle m’indiquait qu’elle aurait aimé que je sois là. Inutile de vous dire à quel point j’ai été touchée…
J’encourage toutes les personnes pouvant verser 25 euros par mois à penser à ces formes de parrainage. Permettre à un enfant de suivre des études, c’est lui donner une vraie chance dans la vie.

Propos recueillis par Nathalie HADRBOLEC.
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