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 Recueillement en Asie, un mois après les tsunamis

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MessageSujet: Recueillement en Asie, un mois après les tsunamis   Recueillement en Asie, un mois après les tsunamis EmptyMer 26 Jan - 16:49

Recueillement en Asie, un mois après les tsunamis 050126125439.qrcgh8mq2b
En Thaïlande, des bonzes se sont regroupés sur une plage de la station balnéaire méridionale de Khao Lak, à l'endroit où a été tué Bhumi Jensen, le petit-fils, âgé de 21 ans, du roi thaïlandais Bhumibol Adulyadej.
• Peter Parks
mercredi 26 janvier 2005, 13h54
Recueillement en Asie, un mois après les tsunamis

BANDA ACEH (AFP) - Minute de silence au Sri Lanka, cérémonies bouddhistes en Thaïlande: un mois après, l'Asie se souvenait mercredi des tsunamis qui ont fait plus de 280.000 morts ou disparus, anniversaire qui coïncidait avec la rentrée des clases dans la province indonésienne dévastée d'Aceh.
Le 26 décembre, c'est à 09H36 locales (03H36 GMT) que les eaux en furie ont frappé la majorité des côtes du Sri Lanka, faisant environ 31.000 morts, un des pires cataclysmes que le monde ait connu. A la même heure mercredi, les radios et chaînes de télévision du pays ont appelé à une minute de silence. Des politiciens et des écoliers ont planté des arbres et des cérémonies religieuses ont été tenues en hommage aux victimes.

Parallèlement, la rébellion tamoule a décrété ce mercredi jour de deuil "national". Les Tigres de libération de l'Eelam tamoul (LTTE), mouvement qui lutte depuis trente ans pour l'autonomie du nord-est de l'île, a appelé à "partager la peine de nos frères qui ont perdu leurs proches", selon un communiqué.
En Thaïlande, des bonzes se sont regroupés sur une plage de la station balnéaire méridionale de Khao Lak, à l'endroit où a été tué Bhumi Jensen, le petit-fils, âgé de 21 ans, du roi thaïlandais Bhumibol Adulyadej.

Des experts légistes de l'île de Phuket (sud) ont allumé des chandelles pour une brève cérémonie tenue le long d'un "mur du souvenir" construit dans un nouveau centre moderne d'identification des victimes, où quelque 1.500 corps doivent être transférés.
C'est dans cette nouvelle installation, conforme aux normes internationales, que se poursuivra l'opération la plus vaste jamais réalisée d'identification de dépouilles après la catastrophe qui a fait 5.388 morts, dont 1.948 étrangers, pour beaucoup des touristes européens. Jusqu'ici le plus gros des identifications avait lieu dans un temple bouddhiste transformé en morgue.

En Indonésie, l'anniversaire coïncidait avec la rentrée des classes dans la province d'Aceh, la plus touchée par la catastrophe avec 228.429 morts ou disparus. L'arrivée des élèves était pour beaucoup synonyme de tristesse, tant les regards se tournaient vers les chaises vides d'anciens camarades de classe.
Tandis que des centaines de corps continuent d'être retirés chaque jour des décombres à Aceh, des écoliers en uniforme bleu et blanc se bouchaient le nez en passant près des fosses communes.

Dans des tentes ou des salles de classe encore recouvertes de boue, ils ont tenté de reprendre une vie normale. "Il s'agit de rétablir la routine, rétablir la vie", expliquait Gianfranco Rotigliano, du Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef).

Malgré la tristesse, une lueur d'espoir se faisait jour : des ministres du gouvernement indonésien devaient partir mercredi pour la Finlande pour entamer des négociations de paix avec la rébellion séparatiste d'Aceh, où le conflit a fait plus de 12.000 morts depuis 1976.

Les espoirs de paix ont cependant été quelque peu refroidis par l'annonce de la non-participation du ministre des Affaires étrangères Hassan Wirayuda, qui a ainsi voulu marquer que les rebelles ne sont pas reconnus par Jakarta.

A l'autre bout de l'Asie, l'Inde a écourté son défilé militaire tenu à l'occasion du "Republic Day", qui marque la proclamation de la République indienne, en 1950.

La durée du défilé a été ramenée à 45 minutes, et non deux heures et demi comme d'habitude, en raison du tsunami qui a fait plus de 16.000 morts et disparus présumés morts en Inde
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MessageSujet: Re: Recueillement en Asie, un mois après les tsunamis   Recueillement en Asie, un mois après les tsunamis EmptyMer 26 Jan - 23:04

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mercredi 26 janvier 2005, 19h59
Recueillement en Asie, un mois après les tsunamis

BANDA ACEH (AFP) - Minute de silence au Sri Lanka, cérémonies bouddhistes en Thaïlande: un mois après, l'Asie s'est souvenue mercredi des tsunamis qui ont fait plus de 280.000 morts ou disparus, anniversaire qui coïncidait avec la rentrée des clases dans la province indonésienne dévastée d'Aceh.
Le 26 décembre, c'est à 09H36 locales (03H36 GMT) que les eaux en furie ont frappé la majorité des côtes du Sri Lanka, faisant environ 31.000 morts, un des pires cataclysmes que le monde ait connu. A la même heure mercredi, les radios et chaînes de télévision du pays ont appelé à une minute de silence. Des politiciens et des écoliers ont planté des arbres et des cérémonies religieuses ont été tenues en hommage aux victimes.


Parallèlement, la rébellion tamoule a décrété ce mercredi jour de deuil "national". Les Tigres de libération de l'Eelam tamoul (LTTE), mouvement qui lutte depuis trente ans pour l'autonomie du nord-est de l'île, a appelé à "partager la peine de nos frères qui ont perdu leurs proches", selon un communiqué.
En Thaïlande, des bonzes se sont regroupés sur une plage de la station balnéaire méridionale de Khao Lak, à l'endroit où a été tué Bhumi Jensen, le petit-fils, âgé de 21 ans, du roi thaïlandais Bhumibol Adulyadej.

Des experts légistes de l'île de Phuket (sud) ont allumé des chandelles pour une brève cérémonie tenue le long d'un "mur du souvenir" construit dans un nouveau centre moderne d'identification des victimes, où quelque 1.500 corps doivent être transférés.
C'est dans cette nouvelle installation, conforme aux normes internationales, que se poursuivra l'opération la plus vaste jamais réalisée d'identification de dépouilles après la catastrophe qui a fait 5.388 morts, dont 1.948 étrangers, pour beaucoup des touristes européens. Jusqu'ici le plus gros des identifications avait lieu dans un temple bouddhiste transformé en morgue.


En Indonésie, l'anniversaire coïncidait avec la rentrée des classes dans la province d'Aceh, la plus touchée par la catastrophe avec 228.429 morts ou disparus. L'arrivée des élèves était pour beaucoup synonyme de tristesse, tant les regards se tournaient vers les chaises vides d'anciens camarades de classe.
Tandis que des centaines de corps continuent d'être retirés chaque jour des décombres à Aceh, des écoliers en uniforme bleu et blanc se bouchaient le nez en passant près des fosses communes.

Dans des tentes ou des salles de classe encore recouvertes de boue, ils ont tenté de reprendre une vie normale. "Il s'agit de rétablir la routine, rétablir la vie", expliquait Gianfranco Rotigliano, du Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef).

Malgré la tristesse, une lueur d'espoir se faisait jour : des ministres du gouvernement indonésien devaient partir mercredi pour la Finlande pour entamer des négociations de paix avec la rébellion séparatiste d'Aceh, où le conflit a fait plus de 12.000 morts depuis 1976.

Les espoirs de paix ont cependant été quelque peu refroidis par l'annonce de la non-participation du ministre des Affaires étrangères Hassan Wirayuda, qui a ainsi voulu marquer que les rebelles ne sont pas reconnus par Jakarta.

A l'autre bout de l'Asie, l'Inde a écourté son défilé militaire tenu à l'occasion du "Republic Day", qui marque la proclamation de la République indienne, en 1950.

La durée du défilé a été ramenée à 45 minutes, et non deux heures et demi comme d'habitude, en raison du tsunami qui a fait plus de 16.000 morts et disparus présumés morts en Inde.

Deux organisations humanitaires internationales, la Croix-Rouge et l'Unicef, ont indiqué mercredi qu'elles allaient réduire progressivement leurs efforts pour réunir des fonds pour les victimes du tsunami, après avoir reçu des sommes record.

La Croix-Rouge a reçu 1,4 milliard FS (1,2 md USD), soit "plus que ce que l'organisation n'a jamais collecté en aussi peu de temps", selon un porte-parole de la Fédération internationale des sociétés de Croix-Rouge et du Croissant Rouge.

"Les activités de collecte de fonds, pour cette opération, ne seront pas relancées, celles en cours étant évidemment menées à terme", a expliqué Markku Niskala, le secrétaire général de la Fédération internationale.

Dans un communiqué, Markku Niskala a remercié particulièrement le grand public, qui a versé 85% du total des dons.

"Nous disposons maintenant de suffisamment de fonds pour planifier nos programmes d'assistance sur 10 ans", a ajouté le responsable.

La Croix-Rouge porte secours actuellement à plus de 500.000 sinistrés, grâce à un réseau de 9.000 volontaires et de 300 délégués expatriés.

De son côté, l'Unicef a indiqué mercredi qu'elle ne fera "plus de nouvel appel de fonds" pour les victimes du tsunami.

"Nous avions demandé 144 millions USD, nous avons reçu 300 millions USD, c'est du jamais vu", a expliqué le porte-parole Damien Personnaz.

Selon lui, l'Unicef a désormais assez de fonds pour financer ses projets dans les régions sinistrées pendant les 6 prochains mois.

Il y a 3 semaines, l'organisation humanitaire français Médecins sans Frontières (MSF) a été la première à suspendre sa collecte pour l'aide d'urgence, estimant avoir reçu suffisamment de fonds, soit 40 millions d'euros.
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